02 juin 2006

Tristesse et mélancolie [et condoléances...]

ce n'est as une pensée qui m'amène à poster ce soir (cette nuit..), mais un fait. Chose suffisament rare pour le souligner.

Cherchant la définition d'un terme qu'un ivrogne de ma connaissance (soit dit sans péjoration) m'a asséner sans vouloir me l'expliquern je suis tombé sur un site perso qui m'a quelque peu défrisé, tant les propos m'en ont semblé achétypaux (ça ne se dit pas ? Je m'en fous, moi je le dis !).

Souhaitant interpelé l'auteur, par acquis de conscience j'ai voulu savoir depuis combien de temps celui-ci avait écrit la page sur laquelle j'étais arrivé via Google. J'ai donc raccourci l'URL pour accéder à la page d'accueil.

Et là, stupeur. Une mise à jour très récente (le 12 Mai 2005 je crois) m'apprenait que l'auteur en question était décédé (si je n'avais pas de retenu, je dirais qu'il avait fait le saut*).

Forcément, c'était moins classe de s'en prendre à lui. Et même si'jen aurais dit pis que pendre dans d'autres circonstances, et même si le politiqumeent correct est loin d'être mon fort, et même si les morts ne sont pas tous de braves types (ne t'en déplaise mon Cher Georges B.), il ne m'a pas semblé correct de ne pas envoyer de mail à l'adresse de celui que j'entendais incendier (provoquer ? sûrement...)

Voilà, j'ai donc présenté des condoléances pour le décès de quelqu'un que je ne connais pas à une personne qui ne lira sans doute pas le mail que j'ai écrit...

A la fois, je trouve ça triste, absurde, généreux et vaniteux.

Mais je suis ainsifait que je n'ai pû m'en empêcher.
Aussi j'espère que le destinataire hypothétique de mail ne verra dans mon message que son caractère sympathique (au sens éthymologique du terme, à savoir condoléant). Inutile de m'ne tenir rigueur, j'étais sincère.

Oui, c'est absurde.

Mais oui, c'est également sincère.

Tristesse et mélancolie [et condoléances...]

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